Ai tant éprouvé de chemins
Qu’il m’en reste en soleil et ses furies
Doucereusement mangent à même la terre
Cela s’inverse la nuit
Ombres et nappes sucrées, dansent
Encore fébrilement sur le venin du jour
Le jour a été une marche éconduite de chanvre
Une lente agonie de cygne
Une montagne délogée
Déconstruite dans la poudre d’élytres
Que le sang de juillet et le venin du chanvre
Mêlent au sentiment intérieur
Vin et liqueur et bières blondes
S’accommodent de fleuves
Et de fleurs pressées dans l’épreuve
La fixité du lieu.
Mais je ne dis rien du délire qui est être
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