A UNE PENSIVE
Cette moue sublime où s’amassent les airs urbains
Où s’éventrent et se chevauchent les données affectives
Le stress aggravant de la ville
Je subjuguerai ce ventre ouvert aux émois
Cette robe longue ces tissus portés aux épaules
Cette mine à peine perceptible
Cet air pincé de la résurrection
Combinaison de chiffres et de délires
Algèbre indéchiffrable
Cette mine et cette moue d’acier trempé
Qui font toute la liquidité de ta salive
Cet espace tremblant de la ville
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