Qui mieux que Modigliani peut illustrer les poèmes de fc ?
La forme naïve et profonde, la recherche de ces deux composantes dans un tout obscur les caractérisent tous deux. La forme jusqu’à la stylisation dérivée du style, je le rappelle, c’est à dire la modernité du style.
Ces deux approches complémentaires rejoignent certainement le plastique, c’est à dire le neuf, accumulé par l’expérience et la maîtrise plus encore qu’issu d’une sincérité spontanée. Mais que peut-on faire du spontané ? C’est la question qu’ils se posent ensemble.
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