Commençons par détruire la dépression, maladie trop humaine, trop de doutes, de remises en question. Détruire ce qui agite, enfouit, déconstruit, soulève. Concentrons nous sur la pensée unique, parfaite.
Plus aucune question ne doit passer le corps de l’homme, il faut la réponse type, toutes les ramifications possibles à cette réponse prétendument authentique et sincère, alimenter l’homme parfait, écraser, nier l’angoisse.
La chair et les nerfs, au bout du processus doivent être faits, martelés d’une nuit implacable, infaillible, une nuit obsessionnelle, celle du virement automatique et de la police (flicaille de l’âme, du karma, du cri). Un petit corps charnel robotisé, indéfiniment, roulant la doctrine.
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