Archives Quotidiennes : 18 février 2025

Leçon de base. 0

Juste un conseil aussi les humanistes et les psychologues : si tu ne parles pas avec quelqu’un (honnêtement) ça risque pas de se clarifier avec lui. Sinon c’est du f a s c i s m e.

Info. 0

En général je fais 5 minutes de bashing par jour sur les réseaux, c’est sacré pour moi. Question d’honneur et de respect de soi. Si je fais des erreurs, tant pis !

0

C’est un scandale que les autorités publiques n’aient pas coupé la caméra de la maison du pépé.

0

Un empathe est une personne très particulière. Ce n’est pas un magicien ou un mentaliste. Ça ne s’apprend pas. C’est une faculté innée.

0

Je vais vous écrire plein de textes positifs, soit vraiment moi-même et de superbes poèmes maintenant vous êtes d’accord ? Vous pouvez me répondre oui si vous voulez. Cliquez sur répondre. Il y a des gens qui viennent ici non ?

0

Tout en moi est vitalité, nouveauté, création. C’est que ma fragilité est telle qu’elle échappe à tout le monde. Elle est un geyser de vie, une source d’acides aminés dans des volcans sous-marins. Elle est l’origine de la vie. Je suis la vie. Face à la surabondance extrême de vie que j’incarne, tout est permis. […]

0

Le plan diabolique a fonctionnémon Dieuil paraît que même la ville lui crie à l’oreille on n a jamais vu une chose pareilleah non ça jamaismoulon sur Florian et que le diable l’emporteau plus lointain des enfersjamais souffrance ne fut pareille

! 0

Le diabolisme du tout est permis qui m’entoure est tellement fort qu’il prend corps avec toute la ville, tous les sons, tous les gens. On n’a jamais vu une chose pareille, dans les actes, partout, en permanence, et l’on parle d’empathie comme salut à la télévision…

0

Il surveille mes messages et contacte les personnes que je contacte. Le diabolisme de ce vieux pépé est total. Les gens le réalisent à peine. C’est de la folie.

Poème à une maigrelette. 0

Ce corps famélique qu’est le tienah ma pauvre jeune fille !tu as la peau sur les os. souffres-tu d’une maladie certaineou bien d’un mal paisiblequi lentement te draine tu as la finesse d’un osseletqui laisse entrevoir tes hanchesdans un paradis d’écume blanche