Archives Quotidiennes : 26 janvier 2025

Cthulhu est parmi nous. 0

Inlassablement, ce bout de bois recommencera sa tache et son numéro. Tant que ce bout de bois ne sera pas crevé, tout continuera. Ce n’est pas un humain, mais une bête sordide venu des abysses les plus abjects de l’univers, se nourrissant de la vie pour semer sa mort sans aucun romantisme, charme ou talent. […]

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De jeunes personnes qui sont dans l’être peuvent ne pas voir ce qui n’est pas dans l’être. C’est là-dessus que le pervers démoniaque va agir. Il passe inaperçu car ces jeunes personnes ne perçoivent pas la charge monstrueuse de non être qu’il y a en lui. Tout passe inaperçu. Il pourrait être un boucher avec […]

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Et une psychose est une folie subie. Voilà bon maintenant vous savez tout. Cela fait suite à la grande déconvenue, qui est due à ma situation, et non à mes caractères. Voilà bon maintenant vous savez tout.

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Par exemple là le jeu de mot distinguo / dingo est de la folie douce.

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Erasme fait le distinguo entre la folie douce et la folie furieuse dans son éloge. Ce n’est pas la même chose selon lui…

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Un homme sans aucune morale ira toujours taper chez ceux qui n’en ont pas encore (les enfants), ou ceux chez qui elle est en construction (les adolescents). On peut penser qu’il peut taper en tant que dictateur caché ou dans une civilisation declinante également, ou chez des folles dingos qui agissent selon des impulsions qui […]

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Quelqu’un qui n’a aucun amour ou presque en soi n’est pas nécessairement dangereux (sauf un tueur en série), mais quelqu’un qui est condamné à ne jamais en avoir et à le rechercher, celui là peut s’avérer la personne la plus dangereuse au monde.

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J’ai compris que je travaillais pour eux dès que je me faisais mal. Mais c’est un peu grâce à eux.

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Rien ne se transmet, tout se comprend par soi-même, contrairement à ce qu’en pense l’utilitarisme anglo-saxon. Vous n’allez pas me dire que le Spring Break est la conséquence de la bonne parole (ah mais non c’est la part exclue de l utilitarisme, mais ma première sentence reste juste).

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Il s’accroche à des murs et des anglesTout lui échappe. Il se concentreIl repose sur le sol qui se dérobeQuand viennent des objets il les tientQuand s’abritent des maison mortesQuand tout est dans le seuil sereinIl est la pression atmosphériqueDe sa seule gravité.