L’idéal.

septembre 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Je qui le corps de l’idéal. L’idéal violé, rapté et piétiné.

L’éceuil.

septembre 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Sont-elles folles et insensées, d’avoir capturé ma vie entière, sont elles vraiment folles, de ne plus se rendre compte qu’elles enfreignent le code pénal ? Font elles une vengeance personnelle de ce qu’elles avaient obsidieusement aimé ?

Le monde a-t-il perdu la tête à cause d’une cathédrale de poèmes, des fous et des folles ont-ils voulu en faire un ordre religieux et mondial ? Dans quel monde de fous vivons nous ? Qu’on ne sache plus même qui fut le poète.

Sont elles folles, et eux aussi, de m’avoir laissé sur le bas côté de la route, sans même que je m’en aperçoive, et d’avoir tiré profit de mon écueil, avant de partir avec ce qu’il y avait comme trésor dans la crypte ?

On a livré bataille à la paix et l’amour, au nom d’idéaux douteux, la réalité s’est ajustée à un délire, une situation malencontreuse. Mon écueil grossit chaque jour, sur l’esplanade d’une prophétie.

Le meurtre.

septembre 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Oh, la verdure, le petit gazon. Laissez cela au monde en général je vous prie. Je voyais des gazons et une lumière déclinante parfois, parce que je marchais, j’étais libre, et mon intériorité semblait totale.

Il y avait des ballons et des poteaux rouillés. J’étais tout, avant qu’on ne heurte ma sensibilité, j’étais une équivalence, une écluse et une forêt, j’étais ce qui ne dit mot, avant qu’on ne blasphème mon silence. J’étais tous les gazons, toutes les verdures et toutes les beautés.

On s’est vengé de mon incandescence, et pourtant je n’avais rien fait, on a piétiné les lumières et les beautés qui prenaient cours dans mes antres, dans mes beautés lovées. J’étais tous les sentiers, toutes les femmes, avant qu’elles ne se vengent, avant qu’elles ne fassent leur mon intériorité.

J’avais vu parfois ce qui adviendrait.

La morale.

septembre 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Nous allons faire la morale à ta place, en te surveillant et en te jugeant. Nous ne prendrons pas en compte tes sentiments. C’est nous qui décidons, nous ! S’il le faut nous te feront subir les pires supplices. C’est nous qui décidons ! Nous voulons que tu souffres de tes sentiments, tout le temps. Nous t’aimons, et nous t avons choisi pour souffrir.

Tu souffriras, tout le temps, encore et toujours. Tu dois tout le temps souffrir ! Nous te jugeons et te faisons la morale. Tu es notre bébé, on va te tuer. Tes sentiments doivent être extrêmes, tout le temps. Tu dois être tout le temps mélancolique et triste, tout le temps ! C’est nous qui décidons.

Nous t’aimons, nous te voulons du mal, tu dois souffrir atrocement, car nous t’aimons. Tu dois mourir ! C’est nous qui décidons. Nous sommes inconscientes de ce que nous te faisons, et cela nous indiffere. C’est nous qui décidons ! Nous ne connaissons rien de la vie à part l’école et les partouses, et tu feras ce qu’on te dit. C’est nous qui décidons.

Na !

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