Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

L'anti roman.

Si le monde…

Si seulement le monde m’avait accepté, si ce monde comme il va n’avait cessé d’accepter l’autonome Florian, avant de sombrer dans l’individualisme, les clans de toutes sortes. Si ce monde était resté le même, préparant son dîner à Florian au bord des routes. Si Florian était resté lui-même, avant d’être éclaté de toutes parts et […]

Le bordel.

Vos projets étaient donc une vaste facétie, un bordel à ciel ouvert où des personnes de tout âge forniqueraient ensemble. Voilà votre rêve, et votre espérance : ce bordel à ciel ouvert pour réguler vos humeurs. N’est-ce pas là le pendant du rêve des terroristes du hamas, qui se vengent de la même manière d’avoir […]

Votre art.

Tout votre art nie la civilisation à laquelle vous aspirez. Elle en est tout au plus un stimulant, une nostalgie plus qu’autre chose. Il n’y a pas d’art dans la cité idéale. Il y a tout au plus des individus de haute valeur. Cela ressemblerait à votre chambre d’enfant ? Vous voyez je suis resté […]

Ma juste place.

Ma place, ma juste place est au tribunal, elle l’a toujours été, et pas au tribunal de Dieu, au tribunal des hommes, car mon corps est fraudé depuis toujours, mon esprit châtié, mon honneur bafoué. C’est là seul que ma place me revient et que mon rôle sera exercé. Rien ne passera autrement, rien ne […]

Vous avez tué l’éros, indignes que vous êtes !

L’obscurité à venir.

Iels se sot réfugié chez le fourbe et le scélérat parce qu’ils n’ont pas réussi à m’étreindre et m’obtenir, mais comment l’auraient-ils pu s’iels n’en voulaient rien, s’iels n’ont rien fait pour cela ! Bien entendu. Les fourbes passent maintenant à l’attaque finale et pense qu’ils auront le dernier mot à m’achever, mais iels ont […]

Vous n’obtiendrez pas ma pensée, c’est impossible.

Diablerie !

J’ai tout donné, on m’a tout pris, on ne m’a rien rendu, rien, rien, rien, rien, depuis toujours, toujours, toujours, on m’a mutilé avant de me dire que j’étais mutilé, coupé la glotte avant de me dire que je ne pouvais parler plus parler ! Diablerie ! Diablerie ! Diablerie ! Diablerie !

Les chiens !

Vous m’avez condamné à la solitude, toujours on m’y a condamné, vous, avec vos prétextes grotesques, vous m’y avez condamné, pour que ce soit moi à l’œuvre ! Pour que ce moi qui bâtisse vos hôtels et vos temples ! Oui moi ! Moi qui ai bâti, influencé, construit, pensé, travaillé, pour tous, même le […]

Ouvrez l’oeil !