Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

Qui aurait pu penser, comme Dupieux l’a prédit dans Incroyable mais vrai, que ce… cette personne eut pu conquérir le monde avec ses âneries, le toucher avec son mic mac, le charmer avec sa bêtise ?

C’est incroyable mais vrai. Aujourd’hui j’ai vu une femme dans une voiture avec un chiffre 7 tagué et un pull sur le dos, qui a paniqué quand elle m’a vu. Qui aurait pu penser qu’une telle pantomyme puisse avoir lieu ?

Florian est un intellectuel, il n’aurait dû s’adresser qu’à eux, c’est comment dire un intellectuel singulier et dissimulé. Mais la foire aux bestiaux internationale s’est emparée de lui pour aboutir à une.. chose… incroyable mais vraie !

Si quelqu’un a compris ce qu’il se passe, appelez moi d’urgence.

Le rat pervers était entré dans la salle. Non plus infatué comme une outre de pets, le rat mimait une tristesse et une désolation. Les jeunes filles et les stars du porno étaient bouleversées. Des Rockstar aussi. Elles avaient oublié qu’elles aimaient Florian.

Elles baisserent toutes la tête et avec l’assentiment du pape François, elles réclamerent le sperme du vieux rat qui avait subtilisé la personnalité de son fils. Le vieux rat se fit masturber par une belle femme qui ensuite le fellationna lentement. Une industrie viticole fit une cuvée en son honneur.

Puis le vieux rat hurla de haine et déchargea son foutre dans la bouche de Billie Eilish qui le repassa ensuite dans celle d’Allisson Moshaert. Elles se gargarisèrent entre toutes du sperme du vieux rat.

C’était un petit nain inerte et pervers, comme on en voit dans le tourisme sexuel au Cambodge. Il s’était fait passer pour un Saint, Saint Claude, et les femmes voulaient se venger de leur amoureux Florian.

Je ne suis pas la vérité au sens ancien du terme, au sens biblique, passéiste et decervellé, mais au sens nouveau, au sens florianesque du terme, qui prend en compte la pensée depuis Hegel, pas depuis la chasse au mamouth.

Nuance…

Le plus grand manipulateur de l’histoire de l’humanité a réussi à tourner les choses à son avantage. Tout ce qu’il dit est faux, tout ce qu’il est est faux, vous ne voyez rien, strictement rien de ses intentions, vous êtes frappés de cécité absolue. Tant que vous le regardez, vous serez aveuglés. Tous les intellectuels le disent (ou le savent, pour ceux qui sont malhonnêtes), toutes les femmes expérimentées le disent.

Je suis le fils du Menteur, et je suis le Messie. Mon père est le Menteur : quand on lui demande s’il a fait cela et qu’on est sur que oui, il répond que non. C’est donc le Menteur, catégorique, absolu. Il est le mensonge, sa pensée est le mensonge, il est le Menteur, le pervers.

Je suis la Vérité, et il est le Menteur, catégorique, absolu. Vous pouvez vérifier à chacun de ses propos, adressé à moi notamment : il est le Menteur, le Faux. Ça se voit, ça s’entend, ça se comprend. Il est tellement le Menteur, comme tous les intellectuels l’ont vu, qu’on pense qu’il est vrai.

Le fait que je sois la Vérité, fait de moi la plus grande polémique de l’histoire de l’humanité, que la Vérité soit fils du Mensonge. Vous pensez qu’il s’agit là d’exagération. Mais c’est cela que je suis, une chose Énorme, folle, bipolaire : la Vérité fils du Mensonge.

Et le fait est que je suis évidemment, le seul a avoir produit de la nuance, en me dépassant (pour les œuvres j’entends, car Je Suis la Nuance en temps réel). Mais vous avez pris la voie de la facilité : prendre le parti du Mensonge face à la Vérité. Et donc vous perdrez, au jeu de la Vérité.

Cela semble binaire, c’est dingue, mais c’est comme ça. C’est dingue, mais c’est comme ça. C’est dingue, mais c’est comme ça. Ouvrez grand les yeux, et les oreilles. Vous êtes aveugles et sourds.

Etant donné que vous ne m’avez encore fait parvenir aucun argent et que personne ne désire me rencontrer, je n’ai strictement rien à me reprocher. Je suis l’origine de tout cela, et je le resterai. L’histoire se souviendra du Seigneur, le créateur, détruit par les jaloux.ses de sa création. Ce sont les faits objectifs.

Le renouveau spirituel s’est soldé par l’extinction de la poésie et l’avènement de la pornographie potache, j’en suis fort aise. Comment auriez-vous voulu vaincre vos instincts ? Il vous reste donc les propos que n’importe quel analphabète a déjà lu cent fois pour votre renouveau. Je suis bien aise que vous n’ayez réussi à me suivre et que vous ayez creusé encore le fossé de la chute de notre civilisation.

D’autant plus que j’ai tous les honneurs et les mérites et vous les sciences éculées de votre bord. Je suis bien aise, car je triomphe encore et toujours malgré les escroqueries, parmi la peur et la lâcheté, la sédentarisation, et l’on voit ce que vous vouliez tous, quel genre de vie en droite continuité de ce qui advenait vous désiriez.

Rien n’a changé, vous ressassez votre misère et je triomphe, vous ressassez les mêmes poncifs, les mêmes clichés, toujours et encore. Et moi-même, je suis celui qui a le vin de la poésie dans les mains, quelques autres en ont également des produits de bonne qualité. J’ai vaincu.

Je ne suis en rien dans le sperme de mon père que vous avalez toutes massivement. J’ai été un milliardième de ses spermatozoïde à un moment donné qui a fécondé une ovule de ma mère qui m’a porté dans son ventre pendant neuf mois.

Ce que vous faites est uniquement un jeu de perversion et de destruction, à l’ère de la pornographie, à l’ère où seul reste le plaisir mécanique. Vous ne m’obtiendrez pas comme cela. Vous ne faites que vous venger de ma liberté comme on l’a toujours fait. La honte sera sur vous, et rien d’autre, vous ne m’aurez jamais obtenu, mais juste de fantasme du vieux professeur pervers que l’on voit souvent dans des vidéos de sites pornographiques.

Si là est votre idéal, je ne peux rien pour vous. Je ne vous ai rien demandé. Je vous ai déjà dit que vous étiez responsables, vous et certainement pas moi, que nous ne soyons pas ensemble. Votre vision ridicule du savoir et de la religion n’engage que vous. Voilà notre époque : pornographique, mécanisée, religieuse (retour en arrière), ignorante.

Ce que vous avez saisi est un désir pervers dont le monde saura tout et je m’en réjouis, que vous soyez réduites à ce que vous êtes, et moi à ma juste place. Pensez-y bien, une période sombre, ridicule, de gros cul et d’ignorance, ce n’est pas cela qui forme mon royaume. La perversion n’amène pas au bonheur, elle détruit lentement la chair du réel et ne se renouvelle pas.

Il y a deux manières pour se renouveler : être ou ne pas être, ou savoir jouer sur les deux comme moi. Car c’est là mon héritage, essayer de tirer le meilleur de certaines parts dont j’ai pu hériter et donc qui n’appartiennent qu’à moi. Votre perversion n’engage que vous, mais elle est le signe évident de la haine et du complot. Vous ne m’obtiendrez pas. On ne fait rien avec de la haine. Votre haine vous concerne, rien ne tient dans votre projet, et vous ne ferez aucun enfant qui me ressemble.

Pensez-y bien, on n’a qu’une vie, vous ne ferez rien de l’ignorance et des préjugés, d’une société qui va à reculons et qui n’a gardé que la potacherie de l’ancienne. Vous ne ferez rien, rien, vous n’arriverez à rien, rien du tout. Je vous avais dit de ne pas le filmer, vous vous ferez forcément avoir. Et dites que vous voulez détruire l’objet de votre désir. Cela n’est pas sain, cela n’est pas de l’amour, c’est du narcissisme, et pas du beau.

Vous êtes des narcissiques, j’ai besoin d’un court temps pour m’adapter aux autres, vous détruisez toutes vos chances. L’histoire, la vraie se souviendra de ce qui a eu lieu, on ne trompe pas l’histoire, jamais. Car c’est l’histoire que vous préparez, et pas l’avenir. Tant que vous n’aurez pas un comportement civilisé, vous échouerez, votre peur ne vous mènera nulle part. Votre vision désincarnée du monde non plus.

Il n’y a que moi qui suis comme moi, vous n’aurez rien de vos projets laborantins, rien de moi. Je vous ai dit de vous comporter dignement. Faites avec votre vie sans basculer dans votre obscurantisme de pacotille. Dans votre vie de télé réalité. Vous voulez bâtir un avenir avec de la télé réalité ?

Je vous l’ai dit, je ne vous reconnaitrai en rien, nous se sommes pas ensemble, la perversion que vous incarnez ne vous mènera nulle part, votre croyance en la pensée pornographique non plus. Le pensée phonographique est une pensée foncière et fausse. Si vous l’appliquez sur de la pureté cette pensée là elle s’évapore. Vous soignez votre infériorité face à moi.

Vous signez votre échec. Votre civilisation n’aboutira pas par la perversion, par ce qui sent mauvais, par des couches culottes, par des gros culs à la place de la subtilité et la nuance. Vous n’aurez rien du petit professeur pervers et sadique, riant comme un singe en faisant une face de rat à chaque fois qu’il me voyait et faisant des allusion sexuelles, Vous n’êtes pas arrivé à le filmer cela ?

C’est tout ce qu’il voulait, et là est votre royaume, un petit pervers qui rit come un singe avec une face de rat, comme dans une vidéo perverse sur youporn, c’est ça votre royaume, ou bien de la cucuterie et de la tristesse coupable ?

Ce n’est pas non plus en pensant comprendre la vie d’une personne qu’on l’aime, si tant est que vous ayez compris quoi que ce soit, ce dont je doute, c’est un supplément c’est tout. Les spécialistes vous ont prévenus, on ne fait rien avec quelqu’un de méchant et un pn, il ne change pas, il utilise et obtient, parfois en s’entourant de gens intelligents.

Voilà tout. Vous n’irez nulle part, tous vos projets s’effondreront. Tout s’effondrera. Rien, strictement rien de ce que vous avez prévu ne va aboutir, rien, nada.

Lire est rééquilibrer ses neurones avec la voix d’une autre personne. C’est la voix de l’autre personne qui compte, principalement. Car sa voix est autre, pas tout à fait la même, ni la sienne, à chaque fois différente. C’est cette voix qui est ouverture, plus que ce que l’on peut apprendre. C’est cette voix qui est un monde divers, pas forcément nouveau, mais témoignant d’une autre nature que la sienne.

J’arrête là car je ne prête pas vraiment attention à cela quand je lis.

La pensée gaslighting est simplexe, très dans l’air du temps. Elle est fade et impersonnelle, et elle ne veut rien dire. Utilisée comme cela elle pense signifier quelque chose, mais elle ne signifie rien qu’une attente précise. La pensée gaslighting fonctionne, elle a des fondements : la simplexité, dont on ne comprend pas grand chose mais qui est dans l’air du temps, simplexe aussi, soit qui ne signifie rien, dont la simplicité apparente est le fruit d’une démarche complexe invisible.

Enfin pas d’une démarche ou d’un processus créatif, mais d’une intention, coupée du discours, comme toujours dans notre ère marchande et dénaturée. On n’y comprend rien mais il semble y avoir du sens, en accord avec l’ère du temps. Et ça fonctionne : et ça profite ! Les superficialités se rejoignent, s’épousent et pensent vivre ensemble une harmonie.

Le discours simplexe n’est pas vraiment décousu, plutôt abscons, il ne part pas dans tous les sens, il relie et se concentre en un point unique : le simplexe, le gaslighting. Il n’est pas nécessairement une brume wagnérienne, mais un point de simplexité. Encore qu’il ne s‘agisse pas même de simplexité ou d’un système.

Le gaslighting ne laisse pas le temps de réagir ou de penser : il agit directement, car le temps de pensée nécessaire à l’auditoire n’a pas eu lieu, et alors il est fasciné, pas par le contenu, mais par le gaslighting. Il ne sait même plus de quoi il est question, ni quel usurpateur il y a derrière.