Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

PAYS

Est-il un seul jour où tu puisses te parfaire
Tu es entrée dans la caserne à facettes
Il miroite des temps pluvieux et sains

Dans l’armoire qui touche le pays
Rien ne me déplait autant que l’ordre
Qui succède au sentiment d’une victoire

Je suis dans la mésange où se meut une allégorie
Elle tombe sur le monde, elle éclaire
Comme des sceptres épris

VALEUR

Je suis la cornée et le chemin appris
Dans l’élément de l’ozone qui me succède
Dans les membres d’un animal qui m’embrasse

Je ne suis jamais que le prés épris des saluts
La touche qui nargue toute valeur
Le présent qui jamais ne me fuit

Je suis la ville dans ses pierres et son réduit
La succession de pierres dans un abri
Rien ne m’agresse que de mauvais gens

Non je n’ai pas ton sens de la famille le petit Corse Jérôme Ferrari, j’ai pas ton sens de la fiabilité. Par contre ton Mateo Falcone qui tue son fils pour l’honneur t’en dit quoi guignol (parce que c’est exactement ça l’histoire, jusqu’ici) ? Je me sens plus Allemand que Corse tu vois, et je suis pas sûr que les Corses auraient fait long feu si les Allemands les avaient envahis.

L’ironie du sort c’est que c’est moi le maitre ès amour, et que je ne peux même plus déclarer ma flamme à qui que ce soit à cause de l’inversion qui a eu lieu. Tout cela a été bien calculé, bravo aux commanditaires.

Le désir et l’éros poétique m apparaissent de plus en plus comme des fadaises, un pot de fleur sur une cheminée, un sac à main sur une chaise. De plus je crois qu’il n’y a rien de créatif ou d’excitant à l’intérieur. Ces poèmes que je lis sont fades et impropres au plaisir. Je crois qu’ils bloquent plus qu’autre chose.

De la poésie noire et blanche peut être, ou brouillonne, mais la poésie même savante est de cet ennui de la vielliesse ou la neutralité, du temps figé par le mensonge, quand on ne sent pas une personne derrière, de la fausse lumière. Une lumière terne en somme.

Il y a bien d’autres choses à faire.

Je ne suis jamais senti aussi apaisé que depuis deux ou trois jours. Je me sens libre comme l’air.

Je crois avoir trouvé ce qui m’apaise, et vous n’êtes pas prêt de décuver. Reste à savoir quel sera l’avenir de ma poésie. Pour la poésie en vers, c’est beaucoup trop éprouvant pour le moment, plus du tout à l’ordre du jour. Je crois que ça m’ennuie même d’en lire.

J’aimerais bien en réciter cela dit. J’avais enregistré de si belles choses que j’ai perdues il y quinze ans de cela. Si seulement vous m’aviez entendu ! Vous n’aviez qu’à être avec moi.

Pour ceux qui seraient offensés de mes propos sur la mère de miss Eilish : ça fait des années qu’elle fait cela avec moi tous les jours, sans parler des dizaines de comptes insta qu’elle a créés à ce sujet : donc qu’elle aille se faire foutre. Je ne dis jamais des choses en vain.

Ce que je devrais tant dire à certaines femmes : merci d’attendre que j’ai envie de le faire moi aussi s’il te plaît. Je suis un homme et tu me respectes aussi.

Elles n’ont pas compris que j’aime les vrais hommes spirituels. En fait elles n’ont strictement rien compris. Elles appartiennent à une civilisation de la consommation où l’on travestit la pensée en permanence et ont choisi un mime qui n’arrive pas à la cheville de dix mille autres hommes.
La morale est leur arme, la morale grincheuse de la société de consommation. La peur de l’engagement aussi, car elles ne s’engagent pas comme celui qu’elles ont choisi et son ersatz de religion. Non il n’a pas même le courage de croire en Dieu ou d’ouvrir cette hypothèse, les infra réalités lui font peur, tout comme les anglo-saxons se sont écartés de cette voie, car ils ont toujours eu peur.
Un prêtre est un homme qui a un courage surhumain, un prêtre donne au réel une valeur immanente. Un poète c’est autre chose, il travestit peut être un peu plus le réel, ou il le diversifie dirons nous, mais il accède encore à des réalités plus profondes.
Combien ont rêvé d’être de tels magiciens ? Autant que ceux qui ont peur de la magie et de l’aventure, et se réfugient dans des ersatz de pensée ou des schémas mentaux. Autant qui ne savent ouvrir leur esprit à ces réalités. D’autres artistes je n’en sais rien, je vois tant de gens se faire avoir. Un esprit ouvert se fond à tous les aléas et aspérités possibles, avez vous vus comme dans une situation parfaite il serait stable comme une statue ? Il pourrait aussi bien être un oiseau, il pourrait fendre les airs, il pourrait traverser le ciel.

Au vu de votre acharnement à me faire la morale (je vous rappelle que ma vie privée ne vous regardait pas et que vous avez violé massivement la loi) et au vu de la tournure irréparable des événements, je n’aurais plus le moindre scrupule à avoir dans mon discours et serai de plus en plus décomplexé face à votre acharnement et votre rage. J’ai les meilleurs avec moi, n’oubliez pas. Enfin pour ce qu’ils peuvent avoir de meilleur. Vous ne pourrez rien face à moi. Je m’adapterai à votre acharnement, et vous aurez ce qui a été fait comme héritage. Moi j’ai l’avantage de n’avoir rien fait, comme à mon origine. Vous perdrez et l’histoire, bien qu’elle ne m’intéresse que peu, est déjà de mon côté.

Comme si la biographie de quelqu’un légitimait ce qu’il est.. . On est ce qu’on est d’un seul bloc dès la naissance. Cette idée platonicienne qu’il faille comprendre pour aimer est une chose. En vérité il faut aimer puis comprendre. Comprendre en bonne partie seulement.

La compréhension vient de soi, pas de ce qu’on en dit, et aucune infortune n’explique qui on est. Combien d’orphelins sont gentils et normaux et de familles riches et nombreuses accouchent de salauds ? La biographie n’explique rien, aucune infortune, aucun historique non plus. Ce qu’on est est une pure une loterie.

Tout est une loterie, rien ne s’explique par rien, aucun personnage historique ne s’explique par rien. Les événements, nous ne faisons qu’y réagir. La biographie est un passeport qui permet d’avoir accès à tel ou tel terminal, mais la personnalité est un bloc, parfois multiple et riche, qui ne dépend de rien.