Poésies de l'un des plus grands Français de l'Histoire.

Une chose est ouverte, une chose plastique. Elle est belle et douce, et entre en moi. Elle m’apporte une nouveauté, et frétille comme une jonquille. On m’a fait mal, et elle ne veut pas qu’on me fasse du mal, mais vraiment.

Non elle ne veut pas qu’on me fasse du mal soi-disant, mais elle vraiment, elle est normale et joue avec un brin de riviere. Elle est une église natale.

Elle est plastique et elle ouvre les portes des toits et des ventes à la sauvette, elle est devineresse et devine le passé comme l’avenir.

Je n’ai demandé à aucune personne de me filmer plutôt que de venir me voir, avec mon grand sens de la sociabilité. Je n’ai demandé à personne de détourner le cours de ma vie.

Je n’ai demandé à personne de ne pas me faire part de ce qu’il pensait de mon travail ou de moi-même, je n’ai demandé à personne de semer des embûches dans ma vie.

Je n’ai demandé à personne… Enfin si d’accord j’ai voulu que vous tombiez amoureuses, mais pensez vous un seul instant que j’aurais crû à tout cela ?

Je demandas, moi qui m’étais relevé d’épreuves difficiles, je le sais à peine, qu’on me considère, et qu’on voie que je ne suis pas n’importe qui.

Pour le reste je n’ai pas insisté, je n’ai insisté en rien et on ne va pas m’en faire le grief. Si j’avais su que j’étais célèbre, j’aurais davantage réagi plutôt que de m’en rendre compte par moi-même.

Le songe est d’or, pour qui entend les joueurs, et le soleil est d’or.

Les joueurs sont des corps qui cohabitent avec leur tête.

Les joueurs sont des apatrides du soleil.

Une chose pour le joueur : tu ne joues pas toujours, mais le soleil s’aventure ou rêve toujours, le rêve et le flanc du parcours

Où mène t-il ?

Faites une seule procession qui soit libre, et vous abolirez l’injustice dans le monde. Ce n’est pas tous les jours que l’on voit un homme comme Florian, faites une seule procession qui soit libre, et vous abolirez l’injustice dans le monde. souvenez de ce que vous a dit Florian : une seule procession qui soit libre.

Vous savez Florian pratique le sexe et le corps aussi parfois comment dire : au prince devraient revenir les droits. Au prince devraient revenir les droits. Mais on ne peut bâtir de société de mérite, et nous allons vers ce chemin. Donnez du mérite à Florian, vous voyez ce que c’est ? Vous pensez savoir ce que serait une procession qui soit libre ?

Vous sauriez une chose, vous pourriez la comprendre, une chose dont l’indépendance est soudaine, une chose qui appartienne à tous ? Quelle idée vous feriez vous de la liberté ? Vous pensez qu’elle se bâtit ? Quelle idée vous feriez vous de ce qui serait en bonne santé dites-moi ? Qu’est-ce que la santé pour vous ?

Vous figurez que les choses plaisantes soient mauvaises ? Vous dites au prince de rejoindre son champ dont vous avez pris les récoltes ? Vous lui dites que le fléau qui s’abat sur lui a de quoi rire ? Vous obtenez le rire de la récolte ? Peut-être ne sauriez vous pas le formuler ?

Que pourriez vous formuler ? Un avenir qui a pris la tête du prince ? Bâtiriez vous un monde sans tête ? Avez vous peur ? Je me le suis souvent demandé, je crois me connaitre, si une fille avait été dans ma situation je serais allé la voir, je me serais rendu chez elle. Je me connais assez bien, je suis plutôt en retrait et souvent mal à l’aise, mais je connais mes qualités.

J’ai une prestance vous savez, infalsifiable et qui n’appartient qu’à moi, que d’autres ont aussi probablement, une prestance qui elle peut confondre l’idée du bien à une forme de réalité, c’est un jeu aussi pour moi, mais un jeu gagnant, un jeu véritablement qui touche à certains royaumes que l’on voit dans les fictions.

Ce royaume est infalsifiable, vous ne pourrez pas le bâtir, il est dans la tête du prince.

Le meilleur moyen d’être calme est de moins l’avoir été avant.

On m’a dit que j’ai gardé par moment un irrésistible accent du sud, après ces quatre années.

Quelle bêtise quand on y pense, quelle construction que se font les autres sur un tas qui se forme, agrémenté de propos superficiels. Voilà comment ça s’est construit, par un jeu de télé-réalité – l’ère de la télé-réalité – où l’on a grassement confondu les images télévisées avec la réalité, comme si cela pouvait en témoigner vraiment.

On se met à vivre des histoires avec moi, sortir plusieurs albums d’amour et de désamour, sur de nombreuses années, sans que je sache que la personne existe ? Ce n’est pas un tas qui se forme cela, un amas ? Des tas de sont formés et je me rends compte progressivement de ce qui s’est formé et de ce qu’a été ma vie, ou du moins une vie en parallèle – mais existait-elle ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Sont-ce des manières de se comporter dignement ?

Je me retrouve avec cela et avec certaines anecdotes invraisemblables. Mais pourquoi en dix ans en Île de France personne n’est venu me voir et m’en dire un mot sacré bon dieu ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Vous avez pensé une seule seconde à la personne réelle avec qui vous avez monté tout cela ou cela vous a t-il échappé ? Vous n’avez pas vu qu’il y avait une vie derrière ?

Vos parents vous ont appris à vous comporter comme cela ? Pardonnez moi mais ça ne me serait pas venu à l’idée.

Une vie bien remplie, intérieurement et extérieurement, comme la mienne, n’a besoin d’aucune théorisation, à moins qu’elle soit exceptionnelle. Car je vis ma vie lentement et progressivement, je peux passer d’excellents moments et à d’autres êtres plus faillible. Je reste éminemment sociable dans le sens où je n’oublie plus que je suis borderline, et donc ma vie suit un cours tranquille, on ne m’empêchera plus – mais peut-être cela aussi venait de moi-même et vous m’avez aidé – à être borderline ou légèrement autiste, je serai moi à toutes épreuves grâce au travail que nous avons fait ensemble.

Et donc on ne puit que théoriser des choses qui ont une haute consistance, quand elles sont de moindre valeur, à quoi bon les encenser ? Laissons tout de même le meilleur au meilleur, et idéalement, équilibrons une société de la sorte, que l’élite ait le meilleur, comme c’est encore souvent le cas et injustement décrié par d’autres, souvent jaloux, laissons l’élite à l’élite et le peuple chaleureux au peuple.

Florian est un grand vecteur pour cela, un vecteur de cohésion et de fédération, comme il l’a souvent été, bien souvent à son insu car il n’a aucune qualité de meneur, mais respecte ceux qui le sont. Ah ce petit Florian en retrait a une vie bien difficile, il est en colère parfois c’est vrai, cela se voit sur son visage en ce moment, mais cela va partir, Florian va trouver tout les subterfuges adéquats pour y parvenir – T’as le numéro ?

Comme je suis borderline je peux passer de très bon moments et craquer après. Et schizophrénie paranoïde (j’ai conscience que ça déborde parfois mais…), vous ne me facilitez pas la tâche.. Je vais utiliser le mal qui m’est fait par certains.

Ne vous trompez pas sur l’immense douceur de Florian, car la violence est le signe qu’on lui porte atteinte. Doux et sociable, les félonies diverses de ce monde lui seront faites, car il est charmant et plait aux femmes, et cela pour le concours animal des gens, cela il faut le lui arracher et lui léguer la misère qu’ils sont.

Mais la douceur de Florian est éternelle, elle est ce fond où l’on puise et où tout le monde veut puiser, en se servant de lui, en le malmenant, injustement, sans loi, violemment. Abattu par les gens, isolé, violé, on l’accusera ensuite du forfait qu’on a commis contre lui, on lui reprochera d’être dépossédé de ce qu’on lui a pris.

Et cela pourra prendre une envergure internationale, risible et pitoyable, pour dénaturer l’ange, depuis toujours, pour le lyncher à l’échelle mondiale, abandonné peu à peu de tous, livré à des exactions diverses, seul, isolé, fragilisé, sans recours à la justice. On abat Florian comme une bête à l’abattoir.

Mais cette douceur qui est Florian, elle est juste et elle ne partira jamais tout à fait, malgré les offenses et les blessures à la chaine qu’on lui administre. Savez vous bien que Florian est toujours douceur, et que dès qu’il consulte son smartphone, ce cercueil noir comme dirait l’autre – j’avais employé aussi cette expression pour parler de la télévision il y a quelques années – une lance lui transperce le cerveau, le pourfend et le laisse souffrant et pantelant face à ce sort qui lui est fait ?

Car Florian est douceur, Florian est cette douceur. Il consulte rarement son smartphone dehors, à chaque fois on lui transperce l’esprit. Il s’en sort, il s’en sortira malgré les atteintes les plus lourdes qui soient à son intégrité.

Les félon.es ont trahi Florian parce qu’il n’ont pu l’obtenir. Dissimulés, agissant dans l’ombre, à l’abri de la lumière, ils l’ont outragé et offensé pour venger leur impuissance.

Un désaveu diront certains, une vengeance, le fruit d’un amour faux, une quantité de transferts, un complot, un endoctrinement, etc.

Les félon.es ont porté atteinte à la fraîcheur pour basculer dans le sordide, dans ce qui violente et diminue, mais cet acte de disgrâce et de félonie envers Florian sera vu au grand jour, et la lumière qui baigne l’ange montrera au monde, ciblera l’ombre pour que Florian soit vu davantage encore.

La félonie consiste en cela, et la lumière à montrer ses rouages, et enluminer la beauté, montrer ce qui hors de toute loge, illumine ce monde et le baigne d’une tranquille clarté où l’ange repose, où l’ange du monde est à l’abri de toute violence.