Le possible.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Je suis l’acteur de ma propre vie, mais pas au sens où vous l’entendez, car je n’agis en rien. Je teste ce qu’il y a de potentiellement humain en moi, je jauge, sans jamais ne rien faire. Je regarde ce qui est possible. J’aime particulièrement me trouver ridicule. Cela me fait rire aux éclats.

En testant tous les possibles, d’abord je démolis la nullité humaine-les robots divers et pullulant de la civilisation robotique que j’ai totalement oubliés-, ensuite je teste la viabilité, la stabilité du possible. Car le possible est une chose sérieuse.

Mais je ne peux aborder l’agir, j’en reste au possible, purement cérébral. Je suis le cerveau de l’agir, le remembrement de l’espace (?). Je teste tout, je ne peux pas faire grand chose car on ne veut pas me voir. Alors je teste, j’émule le possible, je le rends jaloux presque.

Je n’ai plus rien à voir avec vous.

Plutôt Cioran maintenant.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Quelqu’un de terriblement pessimiste se réfugie dans l optimisme, quelqu’un d irrationnel dans la rationalité, quelqu’un qui n’a pas de bon sens dans le bon sens. Pour les autres c’est une chose acquise. L acquis est parfois formulé par celui qui n’en a aucun, et ceux qui en avaient naturellement se le voient remettre en cause.

En mode les carnets du sous-sol, pour votre plaisir (et le mien)

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Il y a deux sortes de femmes, les vraies, autonomes et libres et les autres, les bonnes femmes. L’immense question que je me pose est donc la suivante : pourquoi une femme défendrait toutes les autres femmes ? Pourquoi, comme le voudrait le bon sens, ne pas défendre ses semblables du moins, plutôt que d’élargir cela à tout un ensemble ? Cela n’a aucun sens.

Ah si, parce qu’il y en a qui sont battues et tuées par l’autre espèce de manière générale, selon des principes physiques. Mais là encore si on y regarde bien, on voit que la catégorie principale des femmes battues préfère leur mari violent à celles qui les défendent.

Ce monde n’a aucun sens.

Immuabilite du massacre et du crime.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Un massacre est-il en train de se produire, telle est la question. Malgré tous les efforts de l’éducation nationale, un massacre est-il encore en train de se produire ? L’éducation des jeunes a-t-elle été suffisamment claire et ont-ils été suffisamment prévenus pour que le massacre ultime n’ait pas lieu, ou est-il trop tard ?

Car le massacre s’adapte au dernier en date et risque de toujours passer à nouveau, la prévention ne prévient pas des nouveaux crimes, comme le banditisme s’adapte à la police.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Les phénomènes paranormaux se font rares ces derniers temps. Mais tout a un sens, ils agissent quand on n’est plus au fait de sa situation. Si je me rappelle de leur existence et de l’ampleur de leur signification, alors je comprends immédiatement ma situation. J’avais oublié que je n’y peux rien.

Mon destin n’est pas encore écrit. Je ne sais pas encore où j’irai. Il ne faut pas avoir peur de mes propos, je suis une crème en vrai, et une vraie. Vous n’avez rien à craindre. Je suis adorable et léger.

Je suis le meilleur, il suffit de vous dépasser. Je suis vraiment le meilleur, chaque discussion est une aventure, je vous comprendrai rapidement et vous serez sur la plus haute marche en moins d’un mois.

Voilà ce que j’ai a en dire…

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

La télé réalité est un tissu d’amalgames et de bêtises, où des esprits peu avisés confondent des choses qui n’ont rien à voir, comparent et votent selon leur bon vouloir. Non mais à quelle époque vit-on ?

Quand aux conséquences sur une vie humaine…

Bon.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Bon dans mon dernier poème j’ai fait un peu exprès d’être très gentil, donc maintenant c’est à vous de jouer si vous voulez qu’on continue sur cette lancée…

Poème du prince charmant Florian, où il est question de lui-même.

août 12th, 2024 § 0 comments § permalink

Quand tu chantes on dirait une vertèbre qui se lève. Un animal touche une branche et se perche sur un beau perchoir, d’où sortent des merveilles, des pains bénis et de l’oseille. Tu franchis des limites sur un terreplein superbe, et longe les appareils où des mers se découvrent.


Elles chantent comme des êtres qui s’agglutinent à eux-mêmes, et la page devient célèbre, si célèbre qu’elle s’enfuit vers des terres réelles, de belles terres recouvertes de ciel, de si beaux écoulements d’eau, des tranchées où dorment de beaux aiglons.


A telle heure vient en soi le tumulte qui avait pris dans ses mains la partition que tu chantes, à tel moment la piste sonore s’est surprise d’être ouverte, dans le clairon d’un nouveau jour, où se sont recouverts des bouquets qui transpirent.


Tu es le thym que je respire.

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