Archives Mensuelles : février 2019

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VILLE Voici la ville superbeDe là viennent, les impressions surannéesDu lait de juillet. L’INVISIBLE est trompeurEn lui rien ne se satisfaitQu’une puissante allégorieEt qu’un puissant ensablementRien n’est visible sous la peau de l’être humainQu’une tête d’épingle Savoir passer, par le chasEt se sentir méticuleuxSe sentir dans la mansuétudeDu grenier du mondeLe sentiment dépressifSème parfois des […]

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  L’homme ne pense aucun concept Il n’a rien à faire avec la nature Son seul concept est lui-même Sa seule nature est de ne pas lui appartenir Anomalique et génial Il gravite sur une couche cosmique Sans n’appartenir à rien Qu’à une protubérance Naturelle, mais géniale. Tout en étant à l’écart des choses Si […]

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  Je vois de la manigance dans tes yeux Pourtant tes yeux emplissent Comme une fraction exaltante D’un temps et d’une pluviose Irrités par l’abnégation des sens Et le vase, ainsi que tu emplis A ses paradoxes et sa mesure Electrique en somme Et plein du venin de ta démesure Résurrection, que la vision que […]

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  Je te prends dans mes bras Les constructions synaptiques Subissent la conjoncture Du temps Autrement dit, le temps passe Et les choses varient Les déclinaisons de ton visage Se concentrent vers un point unique Tout en se délassant, et en changeant A chaque fois les choses déclinent Et le point granitique Du relief S’imprime.

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  Tu n’es pas là, mais j’ai eu l’expérience De la tragédie du vrai Où l’on se sent moins calme Qu’en de stables palmeraies On se sent irisé et pourtant L’esprit est souvent mécontent De ce qu’il ne puisse puiser Dans l’image qui se fond à sa nécessité Mais j’oblitère ton corps et sens la […]

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LE FAUNE DE RIMBAUD Rire sans les apparences de la raisonEst sans raisons apparentesSans que l’on sache pourquoiFaire le pari de ne pas s’orienterSur le fil mélancolique et la lourdeur de la penséeEst une nécessité parmi les branchesEt les arbres qui s’arrachent à la volée Mais objecter et prendre le pari d’effacerTout en construisant sur […]

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  Comme une crème obséquieuse Les choses et devantures, teignent le ciel absent D’une mauve culpabilité Effondrée dans une mélancolie Restreinte et spacieuse. Des choses chamaniques sans amour Constellent une formation qui s’étonne D’appréhender un chemin subit Faisant bloc avec l’électron du monde