Les bras de mon corps pleurent D’envisager, et serrer ta tête Comme une boule altière Car pleurent le vent et le temps Sur tes paupières de châtaigne Et s’amenuise la raison Lentement comme un empire règne Mais viens, faisons cuir la passion Dans la bouche mièvre de tes joues
Catégories : Poésie