J’ai marché longtemps sur la route abstraite Scindée de feuillages Les mêmes ramures vertes, d’un pluvieux Tempérament d’été, je touchais A la sueur d’été, mais j’entrais En profondeur dans le glaive La contemporanéité atemporelle Car c’est toujours ça Qui implique de marcher : être dans le contemporain Atemporel
Catégories : Poésie