Pourquoi pleure-je ce goût lointain cette boule lumineuse Qui m’a construit et avalé Tantôt je n’aurai plus pour éclat son habit Mais me frotterai à des écrins nuisibles Pourquoi la boule qui me pourlèche les sueurs Suçote ma moelle et chérit mes vertèbres Pourquoi la grande maîtresse me glisse entre les doigts
Catégories : Poésie