LA DEMEURE je sens trop d’amour ce poids qui m’écraseme réduit à ce point que je suis plongédans une matrice et toi tu me tiens, toime protèges dans ta permanence infinie. ta permanence ou ton être intégraltoutes tes chairs, tes nerfs et ton ventreton intelligence, ta pensée une et triomphalecomment tu me noues dans une […]
Catégories : Poésie