à mon amour Capri. A. on le croirait obscur, poussé aux révoltesil passe, repasseil sème ses dents sur nos têtes. morsures de guêpes, son âme pleine de cotonbrûlures, brûlures de cigaretteau cerveau à l’amante évanouie. la journée clouée au pilori, l’alcool changeantle vent de midile vent du grief sur ses épaules et ses lèvres.
Catégories : Poésie