L’énigme.

Il y a quelque chose que je ne comprends absolument pas depuis au moins une dizaine d’années, c’est : où est le progressisme ? J’ai beau regarder partout, à chaque coin de rue, je ne l’ai jamais vu. On en parle beaucoup mais c’est une énigme absolue pour moi. Je vois énormément de régression et parfois des bizarreries grotesques. Et pourtant je suis progressiste, mais je ne vois absolument pas un moindre de ses effets nulle part, bien au contraire. C’est à croire que cela ne fonctionnera jamais. Cela allait même beaucoup mieux avant sur le plan social. Je sais de quoi je rêve et quel monde je voudrais, mais à part écarquiller les yeux jusqu’à les exorbiter, je ne vois nulle trace d’un quelconque progressisme.

Vous savez tout (c’est deux cent balles par personne)

Ce que je pense, je le fais en pensant, et ce que j’imagine aussi, c’est mon secret et ma fatalité. Voilà vous savez tout.

Le génie ne s’explique jamais. Il aime trop la vie pour cela.

Respecter l’être humain commence par deconsiderer sa famille (de manière générale hein). Il faut regarder sa famille avec un certain mépris pour pouvoir grandir dans un bonheur plus entier et serein (de manière générale hein).

Mes détracteurs me font plaisir. Le principe du hater est de se prendre la tête pour rien car personne ne le regarde et il est invisible. Du coup ça me fait plaisir qu’il y ait des victimes collatérales.

Le concept de famille, bizarrement est celui qui comporte le moins de vérités scientifiques.

Plus une personne est évoluée, plus elle a de chance d’être isolée.

Plus un instinct est basique, plus il s’accommode d’un autre instinct basique.

Une girafe a le dos cassé. Elle s’étire le long d’un pelage de zèbre qui joue aux dés. Sur l’avenue un lampadaire éclaire une bougie. Des montres indiquent qu’il est huit heure.

Plus l’envergure d’une morale est petite et faible, plus elle veut s’imposer au monde.